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Billets
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*** UBISOFT RATED NEW BUY AT BERENBERG ***
*** TARGET PRICE € 17 ***
(Ubi had no rating before at Berenberg)Who is Berenberg ?
Founded in 1590 – Berenberg is one of the oldest private banks in Germany and one of the oldest banks in the world.
With assets under management of €30.1 billion and 1,150 employees, they are one of the leading private banks in the world.
Berenberg offers its clients individual services through four divisions:
* Private Banking
* Investment Banking
* Asset Management
* Corporate Bankingsource : http://www.berenberg.de
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Ubisoft-Berenberg entame la couverture à l’achat, vise €17
14/10/14 à 08:02 – Reuters
Berenberg entame la couverture du titre avec une recommandation d’achat et un objectif de cours de 17 euros, le broker considérant l’éditeur de jeux vidéo bien positionné par rapport à ses concurrents sur le marché en croissance des consoles. (Alexandre Boksenbaum-Granier) -
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UPDATE : source Berenberg/bloomberg
* Ubisoft initiated buy with price target of € 17 at Berenberg.
* Company is « well placed » among competitors in growing console market.
* Estimates indicate accelerating revenue growth will fuel compound EPS growth of 20% in 2013-2016
* Valuation compelling at 5 times 2016 estimated EV/EBit and 9,1 times estimated P/E of 2016
* Ubisoft appears to be cheap and offers considerable discount to listed peers -
Merci à jea.rose !
Ubisoft : Berenberg entame le suivi 14/10/2014 07:49
Code Libellé Cours
Passer un ordre 1,35% UBI UBISOFT ENTERTAIN… 11,52 € 13/10Berenberg a démarré le suivi d’ Ubisoft à l’achat ce matin, en visant 17 euros. « Après une période durant laquelle la société a investi pour se préparer à la publication régulière de jeux en monde ouvert, nous pensons qu’Ubisoft est bien placé par rapport à la concurrence sur un marché des consoles en croissance », expliquent Robert Berg et son équipe.
Le match iPad vs. consoles n’aura pas lieu
En premier lieu, le courtier ne souscrit pas à l’idée selon laquelle le marché des consoles est appelé à décliner à cause des nouveaux terminaux. Les premiers mois de vente des consoles de nouvelle génération ont montré qu’elles s’étaient bien mieux vendues que la génération antérieure, et l’équipe de recherche pense qu’un jeu iPad ne peut remplacer l’immersion offerte par un jeu PC ou console. Avec ses belles franchises, Ubi devrait profiter de cette tendance haussière.
En parallèle, la digitalisation des jeux est une source d’accroissement des marges. L’éditeur ne réalise pour l’heure que 20% de ses revenus via le canal digital, signe qu’il existe un sérieux potentiel pour le groupe. Berenberg pense que plus de 50% des ventes passeront par cette voie en 2019, ce qui devrait permettre à la marge brute de passer de 72% sur le dernier exercice à 80% à cet horizon.
De surcroît, Berg et son équipe jugent que le groupe a les moyens de débloquer davantage de valeur en amenant ses grosses franchises sur les marchés des produits de consommation et du cinéma. Le film « Assassin’s Creed » en préparation est le signe qu’Ubisoft envisage sérieusement ces développements. Le marché chinois est également un gisement de croissance important, après que le gouvernement eut levé l’interdiction frappant les consoles, en vigueur depuis 2000.
Mal payé
Côté valorisation, le dossier paraît bon marché à Berenberg, en données relatives comme absolues. A 5 fois le ratio EV/EBIT et 9,1 fois le PER 2016, le titre affiche une grosse décote sur ses comparables. L’objectif de 17 euros repose sur un scénario médian. L’hypothèse la plus favorable envisagée par le courtier (développements des franchises dans la consommation et le cinéma, marché chinois, sur des bases conservatrices) conduirait l’objectif à 19,50 euros.
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Disons que l’on a eu un conseil pertinent sur une zone technique intéressante.
Je ne crois pas à un rebond durable…. et je pense même que l’on va la revoir vers 11 / 11.40 avant les résultats car nous évoluons dans un marché ULTRA nerveux.
Et même si je ne suis pas exposé aujourd’hui à UBI (j’ai annoncé que je pratiquais des AR), je suis heureux pour ceux qui y sont.
Pour être franc, si je n’avais pas vendu mes titres hier en PV, je les aurais vendus aujourd’hui avec une plus grosse PV mais je ne les aurais pas conservés.Ensuite chacun prend aussi des décisions en son âme et conscience et en pondérant les risques.
Sur l’entreprise je suis positif et vous le savez 😉Créateur du site en mode cordial 🙂
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